Quand la forme du noyau communique le stress chez les plantes !

Dans le cadre d’une collaboration interdisciplinaire, initiée par un projet « défi du CNRS MECANOBIO » impliquant l’INSIS et l’INSB, les chercheurs ont étudié, chez Arabidopsis thaliana, la réponse à un stress hyper-osmotique mimant le stress physiologique subi en cas de sècheresse. Les équipes de Marie-Edith Chabouté, Olivier Hamant et Atef Asnacios ont montré que le noyau de la cellule devient plus dense et plus rigide en réponse à la sécheresse. Cette réponse impliquant un régulateur de l’enveloppe nucléaire conduit à une forte expression de gènes conférant à la plante une résistance au stress. Ce travail a été publié le 23 Avril 2020 dans la revue Current Biology.

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