Les plantes, par leur mode de vie sessile, sont constamment soumises à des stress (stress mécaniques, biotiques et abiotiques) au cours de leur développement. Elles ont mis en place des mécanismes de régulation de leur croissance pour s’adapter à ces stress, à travers des voies de signalisation transmises au noyau.
Nos objectifs sont de comprendre ces voies par des approches interdisciplinaires (-omiques, cellulaire, physique, génétique et (épi)génomique) à travers l’étude d’acteurs clés situés à l’interface nucléo-cytoplasmique. Nous nous intéressons aux protéines GIP, régulateurs des réseaux microtubulaires et de l’architecture nucléaire en réponse aux stress.
Nos programmes de recherche sont en partie financés par des programmes internationaux (HFSP, IdEX Unistra) et nationaux (ANR). Notre équipe fait partie d’un réseau européen COST (INDEPTH- Action 16212).